Avec plus de 3000 participants, cette marche citoyenne met en évidence l’attachement des Blancois et de toute une région à leur hôpital et aux services de santé de proximité.
Les menaces qui pèsent sur l’hôpital du Blanc s'inscrivent dans la politique d'austérité des Gouvernements successifs Sarkozy Hollande et maintenant Macron : une politique de restructurations, de fermetures de services hospitaliers, d'hôpitaux et de maternité de proximité, de suppression d'emplois.
Tout cela vise uniquement à « faire des économies » sur le dos de la santé, à la « rentabiliser » financièrement et à terme à privatiser des secteurs jugés les plus rentables. C'est une nouvelle remise en cause du service public de santé alors qu'il y a besoin de l'améliorer considérablement avec plus de moyens, plus de personnels et une réelle prise en compte des besoins des usagers. ..
Non et encore non, la santé ne se rentabilise pas. Elle n'est pas une marchandise ! L’hôpital du Blanc doit vivre.
Les parlementaires de l’Indre, à la présence remarquée dans la manifestation du Blanc, Jolivet, Forisser, Gerbaud, doivent cesser de manier le double langage : on ne peut en effet prétendre défendre l’hôpital public en continuant à voter au parlement les budgets d’austérité qui le liquident.
L’heure est plus que jamais à la mobilisation pour qu’il soit fait droit aux légitimes revendications des Habitants du Blanc et de sa région portées ce samedi 14 octobre : maintien de la maternité en niveau 1, coopération avec le CHU de Poitiers, travaux sur la pavillon Thomassin et respect des personnels !
*Pour rendre ces exigences incontournables, les communistes seront de toutes les mobilisations et initiatives nécessaires pour gagner !
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