L'épidémie de "macronite aigue sévit partout dans le pays. Après le laminage du code du travail, les observateurs de la progression de la maladie avaient prévu que le virus "libéralis médéfus" s'attaquerait au service public et aux fonctionnaires.
C'est bien le cas : les personnels des Hôpitaux, des EPHAD, les gardiens de prison, les enseignants, les agents des Finances publiques, les agents territoriaux, etc... sont devenus des cœurs de cible.
Le témoignage que Valérie nous a adressé hier montre qu'aucun secteur n'est épargné par le manque de fonctionnaires.
Récit :
"J'ai déposé une plainte au commissariat de Châteauroux, j'y suis arrivée à 14h, il y avait déjà 7 personnes devant moi. 4 personnes sont arrivées après et vers 14h30 on refusait les
personnes suivantes, en leur demandant de venir le lendemain! Entre temps il y avait des personnes qui avaient rendez-vous. Visiblement il y avait seulement 2 personnes pour prendre les
plaintes.
Quant à moi j'ai attendu plus d'une heure ! Une personne était déjà venue la veille mais avait dû abandonner. ALORS NON À LA DIMINUTION DES
FONCTIONNAIRES "
Avis partagé !
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