Une heure d’interview dans une salle de classe, pour expliquer aux Français, sur un ton professoral et condescendant, qu’il ne changerait rien à sa politique. Telle est la seule leçon à retenir de l’interview présidentielle.
Macron assume : il confirme qu’il est bien le président des riches et persiste dans son analyse de la société qui se divise entre « les premiers de cordée et les autres ».
Conséquence directe : il ne voit ni n’entend rien des mouvements sociaux en cours, ni des cheminot-e-s, ni des étudiant-es, ni des personnels hospitaliers, ni des retraité-es, ni des salarié-es de la fonction publique.
Il passe son temps à enchaîner mensonges ou déclarations vertueuses d’intention que sa politique dément chaque jour.
"Merci pour les efforts consentis", dit-il à ceux qui n'ont rien... Le mépris, encore le mépris.
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